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GéMagazine n°173 : Pierre-Gilles de Gennes

Juillet-Août 1998

A cinquante-neuf ans, Pierre-Gilles de Gennes a reçu le Prix Nobel de physique en 1991, pour l'ensemble de ses travaux sur la matière condensée - trente années de recherche récompensées. Il enseigne au Collège de France depuis 1971. Fils d'un médecin catholique, sa mère est issue d'une famille protestante, les Morin-Pons.

La famille de Gennes a été étudiée dans le "Dictionnaire des familles du Poitou" de Beauchet-Filleau - un des membres de la famille, Louis Alexis de Gennes [ascendant n°16], né en 1787, fut un des plus dévoués collaborateurs de la première édition de ce dictionnaire. Quant à la famille Morin-Pons, elle figure dans "Filiations protestantes" de Eric Bungener. Certaines recherches ont été complétées, tant à Poitiers, qu'à Tours, Lyon et Paris. Les origines géographiques sont réparties dans quatre régions françaises, le Poitou - département de la Vienne - le Centre - département de l'Indre-et-Loire - la région Rhône-Alpes - départements de la Drôme et du Rhône - et l'Alsace - département du Haut-Rhin. On y découvre aussi des origines étrangères, telles la Suisse, l'Angleterre et le Brésil.

 

Famille du Poitou.

La famille de Gennes descend de Jean de Gennes, procureur au présidial de Poitiers en 1560. Alexis de Gennes (n°32), qualifié de chevalier, dit seigneur des Girardières, est le fils de Hilaire René de Gennes (n°64) et de Marie Magdeleine Radegonde de Reignier (n°65). Alexis de Gennes (n°32) est né le 1er octobre 1752 à Bapteresse, commune rattachée à celle de Château-Larcher, canton de Vivonne, arrondissement de Poitiers, dans la Vienne. Alexis de Gennes (n°32) a quitté la France en 1791 pour servir dans l'armée des Princes, et prit part de ce fait aux côtés des Alliés aux campagnes de 1792-1793. On le trouve lors de la défense de Maëstricht dont s'empara le général Jean-Baptiste Kléber (1753-1800) en 1794. Rentré en France, il s'est éteint à Poitiers le 15 décembre 1828. Il avait épousé le 17 mai 1779 par contrat passé devant maître Bourbeau, notaire à Poitiers, Marguerite Louise Sanglier ou de Sanglier (n°33), fille de Joseph Louis Sanglier (n°66) et de Marie Renée Sarazin de Montegu (n°67).

 

Professeur des sciences physiques et mathématiques.

Louis Alexis de Gennes (n°16) est né à Poitiers le 11 janvier 1787. Son goût pour la recherche historique lui fit prendre le poste de voyer du canton de Richelieu, arrondissement de Chinon, dans l'Indre-et-Loire; ceci afin de lui permettre de compléter les recherches qui furent l'objet de ses constants efforts. Sa vie fut bien remplie; employé pendant dix ans, comme instructeur public pour l'enseignement des sciences physiques et mathématiques, nommé en 1817, inspecteur des chemins vicinaux de l'arrondissement de Poitiers, placé en 1838 à la tête de l'école pratique d'agriculture du département du Maine-et-Loire, il fut membre de plusieurs sociétés savantes, telles la société d'émulation et la société d'agriculture. Il collabora à la première édition du «Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou» de Henri, Paul, puis Joseph Beauchet-Filleau.

 

Adoption du nom Degenne-Sanglier.

Marié avec sa cousine germaine, Adélaïde Eglantine Sanglier (n°17), Louis Alexis de Gennes (n°16), promit à son beau-père, Pierre Sanglier (n°34), qui était aussi son oncle maternel, dernier représentant de la famille de Sanglier, d'adopter son nom et d'écarteler ses armes.

Dans l'acte de mariage du 16 août 1813 survenu à Champigny-sur-Veude (Indre-et-Loire), l'époux, Louis Alexis de Gennes (n°16) est qualifié de professeur des sciences de mathématiques au lycée impérial de Poitiers; son père, Alexis de Gennes (n°32) est présent, sa mère, Marguerite Louise Sanglier (n°33) est dite décédée à Poitiers le 25 juin 1811. Dans l'acte de naissance de Pierre Louis Alexis Oscar de Gennes (n°8) en 1819, le déclarant qui est aussi le père est nommé Louis Alexis de Gennes Sanglier.

Adélaïde Eglantine Sanglier ou de Sanglier (n°16) est la fille de Pierre de Sanglier, alors décédé - il s'est éteint à Champigny-sur-Veude, le 26 janvier 1812 -  et de Julie Marguerite de Sanglier, demeurant à Champigny-sur-Veude. Un des témoins est Alexandre de Gennes, propriétaire à Poitiers, cousin germain du futur. Il faut noter que l'épouse signe: Adélaïde Sanglier et non de Sanglier en deux mots.

Le nom est aussi orthographié Sanglier sans «de» dans l'acte de décès de Adélaïde Eglantine, événement survenu le 20 juin 1843 à Champigny-sur-Veude; le père de la défunte est alors qualifié de «messire Sanglier Pierre, chevalier, ancien officier au régiment du Poitou».

 

Décédée chez son gendre.

Pierre Louis Alexis Oscar de Gennes (n°8), a épousé à Luzé le 9 mai 1849 Augustine Françoise Emilie Brault. Leur mariage fut réglé par contrat passé devant maître Monnereau, notaire à Marigny, peut-être Marigny-Chemereau dans la Vienne, le jour précédent.

Pierre Louis Alexis Oscar de Gennes est décédé à Poitiers le 14 avril 1886. Il laisse deux enfants: 1° Marie Louise Emilie de Gennes, mariée à Poitiers le 7 juin 1886 avec Jules Joseph Marie Leussier, notaire à Chateaubriand (Loire-Atlantique); et Paul Louis Léon de Gennes, docteur en médecine demeurant à Paris. Décédé intestat, marié sous la communauté de biens, les meubles et objets mobiliers furent estimés à 2207 francs; il est fait mention de plusieurs maisons à Champigny-sur-Veude, mais aussi d'un compte de tutelle rendu par Mme Brault, née de Marant, en date du 12 septembre 1850 et dressé par maître Lemaire.

Son épouse, Augustine Emilie Françoise Brault (n°9) est décédée chez sa fille à Chateaubriant. Décédée le 17 dans la demeure de Jules Joseph Marie Leussier, son gendre, située rue Municipale., l'acte fut rédigé le 18 sur la déclaration de Ernest Leussier, docteur en médecine.

 

Rectification de nom.

Un jugement de rectification de nom du 4 août 1873 en faveur de Pierre Alexis Oscar de Gennes (n°8) fut rendu par le Tribunal de première instance du troisième arrondissement communal du département d'Indre-et-Loire. Ce jugement précise que «son père, [Louis Alexis de Gennes ascendant n°16], s'est marié à Champigny le 16 août 1813, que l'orthographe qui est portée est Louis Alexi Degène sans grand G, et sans S au prénom Alexis, ce qui ne l'a pas empêché de signer le dit acte de Gennes en deux mots et avec deux N et un S; que l'exposant est né de ce mariage à Champigny le 16 janvier 1819, que dans cet acte le nom patronymique est bien écrit en deux mots, mais avec un grand D; qu'il s'est marié à la mairie de Luzé le 9 mai 1849, que dans cet acte son nom est bien orthographié de Gennes; que de son mariage est née demoiselle Marie Louise Amélie Degenne en la commune de Champigny le 15 juillet 1851, portée sous le nom de Degenne en un mot sans grand D et sans grand G; que de son mariage est né en la commune de Champigny le 27 janvier 1853, Paul Louis Léon Degenne [ascendant n°4]; que ces différentes manières d'écrire son nom ont inspiré à l'exposant l'idée de faire faire des recherches pour arriver à l'écrire correctement; que les recherches qu'il a faites lui ont démontré que son patronyme s'écrit en deux mots de Gennes avec deux N et un S; que ses parens sortis de la même souche sont portés aux registres des mairies sous le nom de de Gennes, ce qui résulte des pièces au dossier; qu'ainsi il rapporte l'acte de mariage de Hilaire René de Gennes [ascendant n°64], l'écuyer, sieur des Girardières, passé en la paroisse de Vivonne, le 7 février 1747, où l'orthographe est bien de Gennes; il est le bisaïeul de l'exposant; qu'il rapporte également l'acte de naissance de ce dernier, né en la ville de Poitiers, paroisse Saint-Cybard, le 3 février 1715, où il est porté fils de messire Gilles de Genes [ascendant n°128], l'écuyer, seigneur du Sinault; que du mariage de Hilaire René de Gennes sont issus deux enfants Hilaire Charles de Gennes et Alexis de Gennes [ascendant n°32], seigneur des Girardières; ce dernier est l'aïeul de l'exposant; il est marié le 18 mai 1879 à la paroisse de l'église de Saint-Porchaire de Poitiers, son pére, Hilaire René de Gennes [ascendant n°64] y est qualifié seigneur des Curés, les Girardières et autres lieux, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, pensionné de sa Majesté; de ce mariage est né le 12 janvier 1787, Louis Alexis de Gennes [ascendant n°16], père de l'exposant, baptisé à la paroisse de Saint-Hilaire, commune de Poitiers, ledit jour; que beaucoup d'autres actes antérieurs qui sont produits établissent l'othographe du nom; qu'il serait étrange de voir une même famille orthographier son nom différemment, qu'il importe donc à l'exposant de faire rectifier les trois actes dont s'agit [...].». Il est intéressant de voir se dessiner l'ascendance directe sur cinq générations de Pierre-Gilles de Gennes à la lecture de cet acte.

 

Origine brésilienne.

Le 29 septembre 1863 est enregistrée sur le 6ème arrondissement de Paris la naissance d'une petite fille prénommée Jenny Amélie Joséphine (n°5). Sa mère est dite: «Augustine Jenny Joséphine Delvallée». Le 20 janvier suivant, l'enfant est reconnue par Hermogènes Joacquim Barboza Tinoco (n°10) alors licencié en droit, et par Augustine Delevallée (n°11), élève sage-femme.

Augustine Delevallée (n°11) est née à Paris sur l'ancien 11ème arrondissement le 19 décembre 1841. Sa naissance est déclarée le jour suivant par son père, Désiré Joseph Delevallée (n°22).

Lorsque le mariage de Jenny Amélie Joséphine Barboza Tinoco (n°5) est célébré le 9 novembre 1887 à Paris, son pére, Hermogènes Joacquim Barboza Tinoco (n°10) est alors âgé de 65 ans. Député de l'assemblée provinciale du Brésil, il demeure à Natal, dans la province de Rio Grande do Norte, et consent au mariage de sa fille aux termes d'un acte du 8 octobre reçu par maître Joao Clymaes da Costa Monteiro, notaire à Natal. Sa mère, Augustine Delevallée (n°11) est décédée au mois de mai de la même année. Les témoins sont trois amis Ernest Philippe Lecorché, professeur agrégé à la faculté de médecine, médecin des Hôpitaux, et chevalier de la Légion d'honneur, Daniel Pedro Ferro Cardozo, ingénieur, et Arthur Auguste Mallebay d'Echérac, inspecteur à l'Assistance publique et chevalier de la Légion d'honneur, et un oncle de l'époux, Léonidas François Joseph Louis de Gennes, maire de Champigny-sur-Veude en Indre-et-Loire.

 

Les Morin-Pons: négoce et banque.

La famille Morin est connue dans la Drôme depuis le XVIème siècle. Pierre-Gilles de Gennes descend par sa mère de Auguste Morin  (n°24) qui, suite à son mariage avec Annette Pons (n°25), a créé la banque du même nom, Morin-Pons.

Auguste Morin (n°24) est né à Dieulefit, dans la Drôme, le 28 octobre 1791; négociant, il demeurait rue Saint-Georges à Paris lorsqu'il épouse à Lyon le 15 février 1827 Charlotte Anne Antoinette Pons. Les parents de l'époux, Jean Henry Morin (n°48), négociant, et Elizabeth Ruelle (n°49), sont domiciliés à Dieulefit et donnent leur consentement par acte passé chez maître Magnin, notaire à Dieulefit, le 23 janvier précédent. Charlotte Anne Antoinette Pons (n°25) est née à Genève en Suisse le 3 mars 1807; elle demeure avec ses parents, Louis Pons (n°50), qualifié de banquier, et Jeanne Henriette Decombaz (n°51), rue Royale à Lyon. Les futurs époux sont entourés de Adrien Morin, 31 ans, négociant à Bordeaux, frère de l'époux, de Jean Jacques Steiner, 28 ans, négociant à Lyon, beau-frère de l'épouse.

Le 13 juillet 1831 est enregistrée à Lyon la naissance de Henri Morin (n°12) qui prendra le nom de Morin-Pons par décret du 19 mai  1858. Celui-ci s'alliera par contrat passé le 20 avril 1857 devant maître Zimmes, notaire à Strasbourg, à Marie Sophie Klose (n°13), fille d'un banquier strasbourgeois.

 

Famille protestante du dauphiné: les Gros.

C'est sur le sixième arrondissement de Lyon, le 3 mars 1870, que fut célébré le mariage de William Bradbury-Leaf (n°14), négociant à Woodlands en Angleterre. Alors âgé de 22 ans, il est lui-même le fils d'un négociant, William Ladler-Leaf, et de Emma Bradbury; ses parents ont donné leur consentement le premier février précédent par un acte reçu par maître William Webbvenn, notaire public à Londres. Les publications ont été faites à Lyon et au Consulat Général de France à Londres. Leur union fut réglée par un contrat passé devant maître Messimy, notaire à Lyon en date du 28 février. L'épouse, Marthe Julie Blanche Gros (n°15) est d'une famille protestante originaire de Serres en Dauphiné. François Gros (n°120) né en 1739 et décédé en 1822, fut reçu bourgeois de Genève en 1770. Il eut une fille de sa première épouse, Jeanne Elisabeth Roget, et huit enfants, de sa seconde épouse, Elisabeth Dunant (n°121), dont: Marc Bernard Gros (n°60) qui épousa en 1816 Juliette Euzières (n°61) qui lui donna deux fils.

 

Une fécondité faible.

La fécondité reste faible. Il faut noter toutefois qu'à la sixième génération, le couple, Jean Henry Morin (n°48) et Elisabeth Ruelle (n°49), eut douze enfants: 1° Jean-Henri Morin né en 1777; 2° Madeleine Morin née en 1778, qui épousa Jean Gédéon Lombard; 3° Etienne Morin né en 1780; 4° Sophie Morin née en 1781, alliée avec Jean Jacques Lullin; 5° Jean Henry Morin, né en 1783, époux de Fanny Rey; 6° Pierre Etienne Morin né en 1785, mari de Christine Amat; 7° Pierre Casimir Morin; 8° Jean Charles Morin; 9° Jeanne Henriette Morin; 10° Auguste Morin (n°24); 11° Nancy Morin née en 1794; et 12° Adrien Morin né en 1795, marié avec Elisa Debar.

Pierre-Gilles de Gennes a eu trois enfants. Pierre-Gilles de Gennes et sa mère, Marthe Marie Yvonne Morin-Pons (n°3), étaient des enfants uniques. Quant à Jenny Amélie Joséphine Barboza Tinoco (n°5), elle avait un frère utérin, Alfred Delevallée. Lors du décès de Augustine Delevallée (n°11), Alfred Delevallée déclare l'événement; il est alors âgé de 25 ans, et est secrétaire d'état major en garnison à Orléans (Loiret).

Mariés le 9 mai 1849 Pierre Louis Alexis Oscar Degenne-Sanglier (n°8) et Augustine Françoise Emile Brault (n°9) ont eu trois enfants nés à Champigny-sur-Veude: 1° Louis Augustine Amélie née et décédée le 29 avril 1850; 2° Marie Louise Amélie née le 15 juillet 1851, épouse de Joseph Teussier; et 3° Paul Louis Léon (n°4). Sophie Marie Klose (n°13), épouse d'Henry Morin-Pons, a donné naissance à deux filles, Henriette épouse de Edmond Achard, et Gabrielle devenue baronne de Watteville, et un garçon, Auguste Paul Henry Robert Morin-Pons (n°6). Quant à Marthe Julie Blanche Gros (n°15), femme de Villiam Bradbury-Leaf, quatre filles vinrent au monde: 1° Marie Blanche Sophie Leaf (n°7); 2° May qui épousa Maxime de Clermont; 3° Elsa; et 4° Muriel.

 

Un milieu favorisé.

La branche paternelle compte deux docteurs en médecine, Robert Joachim Pierre de Gennes (n°2) et Paul Louis Léon de Gennes (n°4), un agent d'affaires, Oscar Pierre Louis Alexis de Gennes (n°8) et un professeur de sciences physiques et mathématiques, Louis Alexis de Gennes (n°16). Sa grand-mère paternelle, Jenny Amélie Joséphine Barboza Tinoco (n°5), est la fille d'un licencié en droit, qui sera élu député de l'assemblée provinciale au Brésil, et d'une élève sage-femme que l'on retrouvera surveillante à son décès. Les père et mère de Augustine Delevallée (N°11) sont respectivement journalier et blanchisseuse.

Les Morin-Pons ont évolué dans le commerce et la banque. Le grand-père maternel, Auguste Paul Henry Robert Morin-Pons (n°6) est administrateur de plusieurs sociétés. L'arrière grand-père, Henry Morin-Pons (n°12), banquier, sera nommé Administrateur de la Banque de France.

Jacques Bernard (n°62) fut élu maire de La Guillotière et membre du conseil général du département du Rhône. Henry Morin-Pons (n°12) fut membre du Consistoire à Lyon. Auguste Paul Henry Robert Morin-Pons (n°6) fut Consul d'Autriche-Hongrie.

Plusieurs furent récompensés par la Légion d'honneur, entre autres, Pierre-Gilles de Gennes, lui-même, Officier, et Jacques Bernard (n°62), Chevalier. Plusieurs autres firent partie de différentes sociétés savantes et eurent un rôle très actif. Un milieu favorisé, mais un milieu intellectuel.

 

Sources:

- recherches aux AD du Rhône effectuées par Jean-Bernard LAURENT, généalogiste, 146 avenue Jean-Monnet - allée 1 - 69300 Caluire. tel. 04.78.23.91.85.

- recherches aux AD d'Indre-et-Loire effectuées par Christine LESCÈNE, généalogiste, 47 rue d'Auvergne 41000 Blois. tel. 02.54.56.18.15.

- recherches aux AD de Loire-Atlantique effectuées par Marie-Hélène LERAY, généalogiste, 3 impasse du Niger 44800 Saint-Herblain. tel. 02.40.94.97.22.

- recherches aux AD de la Vienne et aux AD de Paris effectuées par Myriam PROVENCE, généalogiste, 4 rue Vincent Scotto 75019 Paris. tel. 01.42.40.58.26.

 

Bibliographie:

"Dictionnaire des familles du Poitou" de Beauchet-Filleau.

"Filiations protestantes" de Eric Bungener. Volume 1, tomes 1 et 2. Editions familiales.